Le Mouvement Perpetuel

En physique, un pendule est une faible masse suspendue à un fil (de masse négligeable). Ces simples caractéristiques désignent un pendule simple. Lorsque l’on écarte le poids de sa position initiale et qu’on le lâche, notre masse oscille d’un côté a l’autre. Le pendule a été pour beaucoup de chercheurs et inventeurs une source d'idée pour leurs projets de mouvements perpetuels (par exemple les horlogers comme John Bessler).

Deux cas simples :

1) Le mouvement du pendule est periodique :

Aucuns frottement : le pendule oscile de façon perpétuelle. On pourrait obtenir ces conditions dans un vide parfait.

Ou alors un mécanisme réstitue l'énergie perdue par le pendule à cause des frottements. Par exemple une horloge à balancier, qui toute les demis oscillations est relancée par une roue dentée :

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2) Le mouvement est quasi-périodique :

En étudiant le mouvement d'un pendule simple sur une courte durée on s'aperçoit qu'il semble périodique. Les frottements de l'air finissent par arrêter le pendule.

 Ainsi, l'utilisation d'un pendule pour base d'une invention est soumi à la création d'un mécanisme nécessitant une énergie extérieure : une horloge à balancier nécessite d'être remontée régulièrement ou le "pendule à mouvement perpétuel" de Jaeger-LeCoultre utilise les variations de température et de pression atmosphérique pour fonctionner. Le pendule n'echappe donc pas au règles de thermodynamique et ne permet en aucuns cas la modélisation d'un mouvement perpétuel.